[pop]

Léonard Lasry

Formule Trio

Léonard Lasry  : chant & clavier

Valentine Duteil :  violoncelle – basse

Victor Paimblanc : guitare

Formule Duo

Léonard Lasry  : chant & clavier

Valentine Duteil :  violoncelle – basse

Contact booking :
Robin Sen Gupta

robin@leterrierproductions.com

+33 (0)6 71 03 55 04

Concerts à venir

Les réseaux du groupe

Né à Paris en 1982, Léonard Lasry découvre le piano très jeune et dès l’âge de 10 ans, se met à composer ses premières mélodies. Parallèlement à ses études, les projets de concrétiser l’enregistrement de chansons se multiplient jusqu’à aboutir à la sortie d’un premier album intitulé « Des illusions » à l’âge de 24 ans, évoquant une ambiance « chanson française » assez traditionnelle. Une sorte de récital au son intemporel : l’air du temps ne semble pas avoir d’emprise sur Léonard. Nous sommes alors en 2006 mais nous pourrions être en 1959 ou en 1978, qu’en savons nous ? Léonard Lasry aime les musiques de films de Francis Lai et Michel Legrand, il se passionne pour le cinéma de la Nouvelle Vague et les films de Jacques Demy puis le cinéma de Claude Lelouch et d’Almodovar.

Sans vouloir se concentrer sur une seule discipline, Léonard créé son propre label 29 Music et quasiment simultanément à cela, il s’associe à son frère pour fonder leur marque de lunettes THIERRY LASRY. En 2010, il réalise le temps de quelques saisons, sa propre ligne de bijoux plébiscitée au Japon au sein des boutiques H.P France, au flagship de la créatrice Hiroko Koshino et en France chez Franck & Fils. Au rythme du développement de ses projets mode, Léonard réalise à quel point la part esthétique de la création revêt un caractère déterminant pour lui. Chaque mélodie qu’il compose, chaque atmosphère qu’il créé dans sa musique nait d’une image, qu’elle soit réelle ou fictive. Il peut s’agir de cinéma, mais bien souvent aussi d’une image de mode. Une allure, un look, un vêtement, une attitude lui inspire la saveur de ce qu’il réussit à retranscrire dans ses productions musicales. Les années 2010 vont ainsi voir s’enchainer plusieurs projets aux aspects à la fois iconographiques et musicaux. En 2012 il s’associe à la Fondation Gérard Courant & Elisa Point pour une performance vidéo autour du cinéma des années 60 et de son esthétique. Le projet s’appelle L’EXCEPTION et invite les spectateurs à des projections vidéo hors du commun. Sur Grand écran les chansons déambulent sur les mouvements de Monica Vitti, Catherine Spaak, Brigitte Bardot et autres figures légendaires d’un cinéma à la fois d’avant et tout à la fois terriblement moderne.

La signature de Léonard a mi chemin entre pop, musique de film, agrémentée d’un je ne sais quoi de saveur vintage et autres bulles de champagne, se fait de plus en plus remarquer.Après avoir travaillé sur la direction artistique et la bande originale de MilKY WAY avec le photographe réalisateur Ali Mahdavi pour sa propre marque, Léonard enchaine l’année suivante avec la production musicale du titre « Strip-Tease-moi » pour le Crazy Horse, le mythique cabaret parisien. Le morceau prend la place d’un numéro désormais permanent et devient un tableau emblématique du show TOTALLY CRAZY. Il y compose également la musique d’un tableau de « BIONIC GIRL » le show de Viktoria Modesta, tout en ayant l’occasion à deux reprises d’y installer son piano pour y présenter ses propres chansons, une rare exception pour le cabaret.

D’autres titres sont enregistrées pour Cartier (« Radwoi » pour Cartier Arabia), « Love each other » pour les cosmétiques Trish McEvoy, « Golden Eighties » pour la trilogie « FASHION ! » d’Olivier Nicklaus produit par Mademoiselle Agnès.

En 2019, il publie la chanson officielle du club parisien CASTEL. Le lieu lui donne une carte blanche mensuelle intitulée LES MERCREDIS DE LEONARD LASRY pendant laquelle il reçoit ses convives et propose live intimistes des artistes présents au catalogue de son label..

En 2021, la musique de Léonard rencontre les légendes qu’il a tant admirées : sa chanson « Let’s Disco » est remixée par Giorgio Moroder pour un défilé de la maison DIOR, il compose 5 chansons pour le 50ème album studio de Sylvie Vartan – dont « Merci pour le regard » qui donne son titre à l’album et le final « Tout reste à dire » dont il signe également les paroles.

A l’hiver 2022, sort l’album de Charlotte Rampling « De l’amour mais quelle drôle d’idée » dont il signe la réalisation & composition.   L’album est remarqué aussi bien en France qu’à l’étranger et fait figure de miraculeux et envoutant ovni dans parmi la très rare « d’albums d’actrices ou d’acteurs » existants.

C’est inspiré et galvanisé par l’ensemble de son parcours et ses récentes grisantes collaborations que Léonard Lasry enregistre un nouvel album à paraitre début 2024. Un album au carrefour de la tradition de son répertoire existant et des multiples influences jusqu’alors seulement exprimées sur ses compositions extérieures à son parcours d’interprète.

Après avoir s’être notamment produit à Beaubourg, au Crazy Horse, Café de la Danse, Silencio à Paris, à Tokyo ou Bruxelles, Léonard présentera ses nouvelles chansons sur scène à partir du printemps prochain avec un passage à Paris à La Nouvelle Eve le 26 mars 2024.

Écouter Léonard Lasry

Vidéos de Léonard Lasry

Revues de Presse

 

“Ce nouvel album est un bel exemple de son esthétique musicale  qui marie nuance et énergie”
Le Figaro

Un nouvel album pop aux mélodies élégantes et aériennes teintées de subtiles sonorité rock “
France Inter – Côté Club

“Léonard Lasry chante les sentiments amoureux, ses attentes, ses joies, ses désillusions, sa mélancholie. Et l’on est à nouveau charmé”
Le Monde